De nouveau, ça discute ferme autour du destin de la Calypso. Le vieux dragueur de mines devient encombrant et Monaco n’a pas encore dit oui. D’ailleurs, est-ce si important que ça ? (Voir la saga en cliquant sur Cousteau/Calypso).
• La directrice de la communication de la Fondation Prince Albert II de Monaco affirme que la Principauté est très attachée à l’homme au bonnet rouge. Bon. Toutefois, cette estimable personne vient de montrer le bout de l’oreille en proposant plusieurs possibilités pour le bateau : « soit on le garde sur l’eau, soit on le fait visiter au sec ». Choix délicat, car la différence est grande, surtout du point de vue financier et de l’intérêt du public
A moins que l’intérêt de Monaco soit ailleurs, par exemple dans la récupération de la documentation scientifique et produits audiovisuels liés à la vieille carcasse.
Athos
• Image – L’une des dernières photos de la Calypso, encore à flot… et en piteux état.
Bonsoir, chers amis d’escales marines, Athos, Porthos et autres Menteux sur leurs bancs.
Vous qui savez tant, sauriez-vous m’expliquer comment un dragueur de mines, évidemment construit en materiaux amagnétiques, peut ruisseler de rouille à ce point. J’ai souvenir de dragueurs type MSC60 où, entre les mérules qui attaquaient la coque en bois, et les passavants couverts de cuivre, il n’y avait pas un seul point de rouille.
Serait-ce une illustration du dicton bien connu « les projets sont comme les poissons, ils pourrissent toujours par la tête »?
Bien à vous,
Joseph Bavastro