Ça y est, l’ami Christophe Verdier a terminé l’installation de son bateau quille en l’air. Du beau travail, soigné, ciselé avec la complicité de son copain René.
Résumons. Une dalle de béton, un muret à la forme du bateau, une peau (goudronnée) pour l’étanchéité de la coque ; deux petites tabatières (une de chaque bord) et bien sûr, une porte. Ça a de la gueule. A l’intérieur une table de bistrot, un petit poêle pour les frimas à venir, une lampe à pétrole et un vaste plumard à l’arrière où l’on dort à son aise (je l’ai essayé). Que demander de plus ? Bien vu, l’artiste…
L’idée est dans le vent. Qui fera le prochain quille en l’air ?
• Nos trois images montrent mieux qu’un long baratin la rusticité, l’élégance et le confort d’ensemble. A gauche, l’objet posé dans son environnement ; au centre, durs moments à l’intérieur… ; à droite, petit roupillon à l’heure de la sieste.
Aramis
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